Astrid Manfredi
La Petite Barbare est une toute jeune femme qui a grandi dans les cités. Délaissée par ses parents, elle comprend vite que son charme peut lui ouvrir toutes les portes. Avec un « ami » elle séduit et dépouille les hommes auxquelles elle offre son corps. Mais un jour, elle commet l’irréparable, elle ne détourne pas les yeux lorsque sa bande torture pendant des jours et tue un jeune homme.
Depuis la prison, elle raconte sa vie, ses choix, ses espoirs et son amour pour la littérature qui n’a jamais pu s’exprimer dans la cité.
Ce court roman m’avait attiré grâce à sa couverture, un visage, des yeux, un rouge comme du sang… Et en effet, il tient ses promesses, ce livre est plutôt dur, et ne mâche pas ses mots. Les descriptions sont crues, la psychologie du personnage reste malgré tout complexe et décrit bien la société qui court après les belles choses, la facilité, même au détriment de l’esprit et des envies plus profondes.
Âmes trop sensibles, passez votre chemin, mais ne détournez pas les yeux, la réalité, il faut l’affronter en face !
ça a l’air percutant !
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oui ! l’auteur ne mâche pas ses mots !
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Tentant ! Mais je vais encore fibir retourner…
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Oui, peut-être bien 😉
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J’ai lu des avis plutôt mitigés, et la violence contenue dans ce récit me refroidit.
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en fait la violence est assez peu décrite, mais présente autant dans les gestes, les actions et les réflexions
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