100 pages blanches

Cyril Massarotto

Je suis tombée par hasard sur ce roman, je me rends compte maintenant qu’il date de 2009, mais comme j’ai beaucoup aimé Quelqu’un à qui parler, je me suis lancée !

A la mort de son grand-père qui l’a élevé comme son fils, le narrateur n’hérite que d’un petit carnet alors que ses sœurs ont toute la fortune et les maisons de leurs grands-parents. D’abord frustré et étonné, il se rend compte que le carnet a une valeur bien plus forte que tout le reste.

Comme avec Quelqu’un à qui parler, l’idée de base est vraiment une super idée, que je ne vous dévoile pas pour ne pas vous gâcher la surprise. L’humour et la tendresse sont au rendez-vous, en revanche, j’ai trouvé ce roman moins abouti, et les réactions du narrateur pas toujours très logique.

C’est donc un petit roman sympathique, vite lu, agréable, mais qui ne laissera peut-être pas un souvenir impérissable !

Cet article, publié dans Histoires de vie, Lecture, est tagué , , , , , , . Ajoutez ce permalien à vos favoris.

Laissez-moi votre avis !

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s