Antonin Varenne
2001, Paris. Un sérial killer tue des artistes en mettant leur mort en scène de façon macabre, mais selon une certaine esthétique. Heckmann, un très bon flic, est mis sur la piste, mais bientôt, il a l’impression que le tueur joue avec lui. Dans son enquête, il est aidé par Max, un ancien privé qui n’arrive pas à quitter ce métier.
Assez court, ce roman est également assez dense. Pourtant, il n’a pas vraiment su retenir mon attention, soit parce que je n’étais pas en phase avec l’écriture, soit qu’il manque un peu de punch. Si le côté artistique mêlé à un thriller est intéressant, j’ai eu du mal à m’attacher au héros. Un peu plus à Max, même si vers la seconde partie du roman, j’avais l’impression qu’on s’éloignait trop et qu’en s’accélérant, ça devenait flou. Dans le début du roman, la femme de Max lui laisse un mot disant qu’elle est allée chez le gynéco, et lui se fait la réflexion que ce n’est pas à 8 mois de grossesse qu’elle va avorter. Mais alors que l’enquête piétine, que Heckmann sombre peu à peu dans l’alcool et la dépression, etc, lorsque l’enquête se finit, la femme de Max est toujours enceinte…
Bref, je l’ai lu sans déplaisir, mais je ne pense pas qu’il restera gravé dans ma mémoire !
20ème livre de la rentrée littéraire
Une de mes prochaines lectures 😉
J’aimeJ’aime