Antoine Laurain
Violaine Lepage est une célèbre éditrice parisienne. Lorsque son service des manuscrits déniche Les Fleurs de sucre, un premier roman envoyé par la poste, elle pense avoir trouvé une pépite. Elle n’est pas la seule puisque bientôt le roman est choisi sur la liste du Goncourt. Pourtant, Violaine n’a jamais rencontré l’auteur et celui-ci fait la sourde oreille à ses mails insistants… Et tout ce complique encore lorsque la police vient la voir, car les meurtres décrits ressemblent traits pour traits à une affaire en cours.
L’année dernière, j’avais lu de cet auteur Millésime 54 qui j’avais apprécié sans plus. Attirée par le titre dans ma PAL, je n’avais pas fait attention à l’auteur au premier abord ce qui a permis de me garder des préjugés. J’ai bien aimé le début de ce roman et toute la partie sur le fonctionnement du service des manuscrits. Un boulot qui personnellement me tenterait beaucoup, même si en réalité, je pense lire plus souvent de bons romans directement parus en librairie que dans le tas qui arrivent en maison d’édition où seulement quelques uns par an sont sélectionnés !
La suite du roman m’a moins plût. En fait, j’ai vu venir la plupart des rebondissements et même si je n’étais pas toujours juste à 100%, j’avais compris l’essentiel du roman. Vu que je suis d’habitude assez nulle pour deviner les idées des auteurs de romans policiers, je me dis que celui-ci ne doit pas être hyper abouti.
Néanmoins, c’est un roman court, je l’ai lu dans une après-midi et intéressant par certains côtés ! à vous de voir !
A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
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