L’amour en minuscules

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Francesc Miralles

Après le Plus bel endroit du monde est ici que je n’avais pas lu, mais qui m’avait été conseillé, j’ai voulu essayer de découvrir cet auteur avec ce deuxième roman.

Samuel de Juan est prof d’allemand à l’université. Solitaire, célibataire, il se réfugie dans ses romans et dans la musique classique. Mais au lendemain du réveillon, une surprise le sort de son lit. Un jeune chat gratte à la porte et décide de s’installer chez lui !

En essayant de retrouver le propriétaire du chat, il va sortir de chez lui et faire de nouvelles rencontres : le vieil homme qui habite au-dessus de chez lui et écrit des essais pour un éditeur; une vétérinaire, un homme aux idées étranges sur le monde, l’homme des 17 minutes qui vient dans le même bar, et une mystérieuse jeune femme qui l’a embrassé sur la joue 30 ans plus tôt !

Entre philosophie, poésie et méditation, ce livre nous fait voyager avec le personnage, un voyage minuscule, mais plein de sens.

L’histoire est plutôt sympathique, les personnages aussi. J’ai bien aimé la façon dont la littérature, les petites pensées se glissent dans le roman pour nous faire réfléchir autant que le personnage sur la vie et le sens que nous lui donnons. En revanche, j’ai trouvé qu’on avait au final pas de grande découverte, on n’en sait finalement pas beaucoup plus sur les personnages à la fin du livre et l’histoire n’évolue pas énormément. Alors certes, on peut s’attendre à un histoire du quotidien, minuscule au regard du monde, mais j’aurais peut-être aimé plus de rebondissements, quelques révélations, etc.

Donc un bon petit roman de détente, mais pas forcément un livre dont on se souvient très longtemps !

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3 commentaires pour L’amour en minuscules

  1. Cassandre dit :

    Je l’ai trouvé sympathique

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  2. pepparshoes dit :

    Quelle couverture adorable ! 🙂

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