Aux noces de nos petites vertus

Adrien Gygax

(parution 24 août)

Le narrateur part pour un mariage en Macédoine. Il n’a pas particulièrement envie de s’y rendre, mais ses amis l’y poussent. Là-bas, il rencontre Gaïa, une jeune femme séduisante. Même si elle est fiancée, George et le narrateur la séduisent et l’emmènent à Istanbul. Une relation à trois commence, où les deux hommes passent la nuit avec Gaïa chacun leur tour, tout en profitant de l’ambiance d’Istanbul.

Deuxième roman de la rentrée littéraire, deuxième chez Cherche Midi. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre, la relation à trois aurait pu être celle d’une femme hésitant entre deux hommes, mais elle devient physique très rapidement. Certes, je spoile un peu, mais je le signale pour les personnes qui comme moi auraient à le conseiller (ou déconseiller). En effet, je n’ai pas vraiment adhéré à ce roman, même si la couverture me plaisait beaucoup. Le personnage ne m’a pas emballé et il passe la moitié de son temps à boire ou fumer de la drogue, ce qui déforme sa vision sur le monde qui l’entoure, j’avais presque l’impression d’être bourrée aussi. L’histoire m’a malgré tout surpris dans la toute fin et si elle se lit facilement (le roman est court), elle ne m’a pas transporté. Je pense que j’ai été déçue dans mes attentes, parce que l’histoire aurait pu être intéressante et ces vacances à Istanbul auraient pu totalement me transporter. ça n’a pas été le cas, dommage…

Cet article, publié dans Histoires de vie, Lecture, Nouveautés, rentrée littéraire 2017, est tagué , , , , , , , , , , . Ajoutez ce permalien à vos favoris.

3 commentaires pour Aux noces de nos petites vertus

  1. DF dit :

    Il m’a fait passer un bon moment, ce livre! J’en parle justement ici:

    http://fattorius.blogspot.ch/2017/09/de-la-suisse-la-turquie-le-ressenti.html

    Et cela me fait découvrir votre blog…

    J’aime

  2. Christine dit :

    Je n’ai pas du tout aimé ce roman, pas plus que je n’ai apprécié les personnages principaux ; à savoir leur mentalité et leur vision du monde pour le moins embrumée, et pour cause ! Comme je l’ai dit sur « babelio », je sors de cette lecture avec un profond sentiment de mal être.

    J’aime

Laissez-moi votre avis !