Jean-Louis Fournier
Fournier s’imagine mort. Ayant donné son corps à la science, il attend d’être disséquer. Mais autant que son corps qui ne ressent plus rien, c’est sa vie, son être qu’il dissèque sur la table.
Petit livre vite lu, au chapitre court, l’auteur revient sur des moments de sa vie, heureux ou non, avec humour et légèreté. L’âme réfléchit au passé tandis qu’Egoïne (surnom donné à l’étudiante en médecine, dont le nom signifie en fait une « scie à main en acier garnie de dents triangulaires affûtées » ) découpe le corps, l’étudie, le détache de tout; mais vit également sa vie de jeune femme.
Peut-être ne suis-je pas très réceptive à son humour, j’ai passé un bon moment en lisant ce livre pendant ma pause, mais sans plus non plus, ce n’est pas un livre qui restera en mémoire ! Vous l’avez lu ? vous avez aimé ?
Moi j’ai bien aimé. Tu avais lu d’autres livres de lui ? 🙂
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non, c’était mon premier de lui, donc peut-être pas très représentatif…
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Oui en fait il fait pas mal référence à des thèmes traités dans ses autres livres. Du coup je pense que cette autopsie s’adresse surtout à ses lecteurs « fidèles » et touchera peu les nouveaux.
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oui, je pense que tu as raison !
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Ca m’a l’air assez nombriliste, non?
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oui, c’est très centré sur lui, mais c’est fait avec humour, donc ça passe
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