David Foenkinos
Antoine Duris quitte du jour au lendemain son poste de professeur aux Beaux-Arts de Lyon pour devenir gardien de salle au musée d’Orsay. Peu communicatif, personne ne comprend son geste, ni ses proches à qui il ne parle plus, ni la DRH du musée qui essaye de combler les blancs qui envahissent leurs conversations.
Le mystère autour de ce roman n’avait pas énormément suscité ma curiosité quand j’en avais entendu parler au début. Surtout que si j’avais bien aimé le Mystère de Henri Pick, ça n’avait pas été non plus un énorme coup de cœur et j’avais peur de retrouver un peu le même genre.
Heureusement, j’ai été séduite dès le départ. Divisé en quatre parties, le roman nous tient en haleine, nous faisant nous demander ce qui s’est passé, mais surtout nous immerger dans cette ambiance poétique et mélancolique. Le personnage est attachant, de même que la jeune Camille qui apparaît plus loin dans le récit. L’art est omniprésent dans ce roman et j’ai trouvé qu’il se mêlait subtilement avec la poésie du récit.
Même si ce n’était pas aussi fort, j’ai retrouvé l’émotion ressentie dans Charlotte et cette même passion pour l’art.
J’ai lu le roman dans la journée et j’ai été émue par cette histoire et ses personnages. Une jolie surprise pour ma part !
A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
J’aimeJ’aime
Coucou,
J’ai moi aussi été touchée par ce roman ! Et j’ai beaucoup aimé sa dimension artistique 🙂
J’aimeJ’aime