Anna McPartlin
Maisie élève seule ses deux enfants depuis qu’elle a réussi à enfin quitter leur père violent. Mais elle a aussi à charge sa mère, qui perd peu à peu la tête, a deux boulots pour pouvoir s’en sortir et avec tout ça, elle n’a pas le temps de penser à elle ! Jusqu’à ce que Fred, un policier qu’elle connaît depuis de nombreuses années, lui propose un dîner qu’elle accepte. Mais le soi-même, son fils aîné, Jérémy, disparaît.
J’avais adoré les Derniers jours de Rabbit Hayes, qui, même s’il était dur et triste, était également très lumineux. J’avais un peu moins accroché avec le suivant, même si j’avais passé un bon moment. Celui-ci traite encore une fois du deuil et d’autres sujets compliqués, comme les violences conjugales, le fait de devoir s’occuper seule à la fois d’une personne âgée qui perd la tête et de deux adolescents.
Dans ce roman, on va suivre en parallèle l’histoire racontée par Maisie, pendant et après la disparition de son fils ; et l’histoire de celui-ci, la nuit de la disparition. Cette alternance et le sujet donne un petit côté polar au roman et nous donne toujours envie de continuer pour en savoir plus. Les personnages sont (comme toujours chez Anna McPartlin) très touchants et humains. On s’attache facilement à eux, on s’identifie à leurs caractères, leurs forces et leurs faiblesses. Ça rend le roman universel et lumineux.
Même si j’ai été moins transcendée que par son premier roman, Anna McPartlin arrive le tour de force à nous faire passer un bon alors que les sujets qu’elle aborde sont tristes.
A découvrir !
Comme toi j’ai été touché par la plume d’Anna McPartlin
J’ai d’ailleurs mis ce livre dans ma chronique des romans feelgood à offrir pour Noël et je cite ton article.
Bonne journée
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Merci ! 🙂
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