L’Aile des vierges

Laurence Peyrin

Juste après la Seconde Guerre Mondiale, Maggie Fuller, fille et petite-fille de suffragettes et féministes, veuve depuis peu, est obligée de s’engager comme bonne dans une vieille maison anglaise. Mais la jeune femme n’a pas la langue dans sa poche et aucune intention de mettre de l’eau dans son vin !

Ça fait longtemps que j’avais entendu parler de ce roman, il était sur ma PAL depuis déjà un bon petit moment, alors j’ai fait une pause dans la rentrée littéraire déjà bien avancée (mais les critiques commenceront mi-août) pour lire quelque chose de plus léger.

J’ai adoré la 1ere partie de ce roman, justement dans la vieille maison anglaise à la Downton Abbey ! Le décalage entre Maggie, son franc parlé et les autres domestiques, la maîtresse « Pipa-ma-chère » et le maître, est vraiment truculent. J’ai beaucoup aimé la relation qui se développe entre elle et le vieux maître et le petit chaton qu’elle adopte. Concernant les autres domestiques, cela aurait pu être un peu plus développé, mais ça va.

Et puis, au milieu du livre, gros tournant, puisqu’elle quitte la maison pour partir aux USA.

Et j’ai beaucoup moins aimé. Il n’y avait plus le côté piquant et drôle, l’histoire a eu moins d’intérêt pour moi, les personnages secondaires pas assez exploités, pas assez attachants et surtout, petit à petit l’histoire d’amour qui prenait vraiment le pas sur l’histoire en générale.

J’ai donc vraiment passé un super moment dans la première partie du roman grâce à l’humour et au décalage, j’ai été moins convaincue par la suite, dommage !

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2 commentaires pour L’Aile des vierges

  1. Une de mes prochaines lectures cet été…

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  2. totorotsukino dit :

    j’ai bien aimé pour ma part, mais pas un coup de coeur ^^

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